Encore des bejouses, encore des découvertes

De l'époque victorienne à l'ère de la poupée Barbie en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire...
(Citation d'Anne Sexton)
Encore des bejouses, encore des découvertes

1. Devics
If you forget me / My beautiful sinking ship

2. MetricToupillon : n.m. Petit toupet. Petite touffe, bouquet de branches. Touffe de poils de la queue des bovidés.
Les portes du bout du monde, La Reine.
Motel Villa mon repos, La Sarre.
Le pont de la calamité, La Sarre.
Une grange... Authier.
Une cloison de bois exotique, de l'Iroko, sépare la baignoire de l'espace douche. Seul point de couleur dans l'aménagement. Carreaux de céramique, blanche, dans la douche pour la texture visuelle contrastant avec la chaleur et la sensualité du bois. Sur les côtés et la partie supérieure de la cloison du fond : un bandeau lumineux crée un éclairage indirect pour une ambiance intime.
L'alcôve de droite reçoit les sanitaires: toilette et bidet, avec accessoires essentiels. La grande fenêtre est munie d'une garniture construite sur mesure: panneaux de verre givré, montés sur rails d'acier galvanisé, pouvant coulisser vers le haut, vers le bas, pour permettre tous les niveaux de lumière ou d'intimité.Petit Top 5 annuel... excusez le retard, j'ai des problèmes d'ordi...
1. Cat power
The greatest
2. The Dandy Wharols
3. Eva Cassidy
5. Richard Desjardins



Birdcage, Série "Kunstcamera 55", 2008
Natalia Shaidenko
Hamlet, Série "Kunstcamera 55", 2008
Natalia Shaidenko
Natalia Shaidenko, diplômée de Dawson en photographie profesionnelle, a décidément un parcours des plus intéressants. Elle complète d'abord, en 1996, un Bacc en ingénérie minière à l'Université de Moscou. Elle aura été l'adjointe du directeur de département au bureau des affaires étrangères, génie mécanique, à Moscou ; puis couturière à l'atelier de "Natalie Serge" avant de devenir photographe freelance. Son travail lui a mérité plusieurs prix et distinctions, dont, en 2007, la première place avec mention honorable au Bridgestone Photo Contest.
La série "Kuntscamera 55" présente des images envoûtantes et troublantes, au seuil de l'onirique, semblant arriver d'un monde à la fois étranger et familier, où les concepts de beauté et de laideur se mélangent, se troublent. Ces "portraits" fascinent, comme s'il faisaient appel à quelque chose de l'obscur, de l'enfoui. On est laissé avec une impression de "dérangement" profond.